Retour ce lundi après un week-end entier (du vendredi soir au dimanche matin) consacré aux jeux de rôles. Deux parties étaient prévues : la suite de ma campagne D&D4 et le début d'une nouvelle masterisée par Castaguir, notre hôte.
La partie (ma partie) du vendredi a malheureusement été écourtée par un problème domestique interne. (une sorte de JDR en"Grandeur nature" où un jet pour toucher, modifié par plusieurs ajustement a dépassé ma "classe d'armure" ou mes "réflexes"). L'incident nous a toutefois permis de nous coucher relativement tôt. Nous avons donc repris la partie le lendemain matin vers 10 heures.
Les personnages, après avoir combattu un Balhannot dans la demeure du bougmestre de la ville, se sont enfoncés de nouveau dans les profondeurs souterraines de cette dernière.
Uniquement en terme d'actions, ils ont eu à faire face à des Xorns et des Galeb-dur. S'enfonçant encore plus profondément, ils sont parvenus à une gigantesque salle à l'architecture naine qu'un tyrannoeil s'était approprié pour en constituer une partie de son repaire.
Parce que les personnages ne disposaient pas de quoi leur permettre de voler ou de léviter, parce qu'ils ne disposaient presque pas d'attaques à distance, ce combat s'est révélé éprouvant et très tactique. On a eu droit a des coups d'éclats et autres actions héroïques (des "20" naturels sur des jets d'athlétisme ou d'attaques, etc.) où les héros prenaient de l'élan et se jetaient littéralement dans le vide afin de pouvoir toucher le monstre. Après une lutte acharné, ils en sont venus à bout.
Il était temps pour moi de passer volontiers la main à l'autre maître, tout en étant très insatisfait de ma prestation générale.
Dans l'autre partie je jouais un prêtre de Moradin dans le monde des Royaumes Oubliés.
J'étais accompagné d'un demi-elfe barde, d'un drow voleur et de deux guerriers drakéïdes.
Partis de la porte de Baldur, nous sommes rendus à Scornubal en longeant la rivière Chionthar, en passant par Elturel. Nous avions pour mission de retrouver le fils d'un des juges suprêmes de la ville qui avait disparu un mois auparavant. Une fois un passeur trouvé et payé, nous sommes enfoncés dans la grande forêt depuis peu interdite qui jouxte la ville.
Le gué passé, nous avons été attaqués par trois Ankhegs.
Les deux guerriers drakéïdes ont fait parler leur terrible puissance de frappe alors que Nalfein, le voleur drow usait de ses tours pour prolonger un avantage de combat lui permettant d'optimiser ses frappes.
Une fois débarrassés de ces prédateurs géants, nous sommes arrivés dans une clairière où s'était établi un forgeron et sa petite famille.
Nous avons alors été surpris par l'attaque d'un groupe de gobelins qui avait dû nous suivre discrètement dans la forêt. En grande infériorité numérique, il nous a fallu agir de manière juguler le harcèlement des tirailleurs et des doubles lames qui préparaient l'attaque de flanc des troupes d'"élite" : lames noires en autres.
Cette partie a été un vraie régal : un peu trop courte à mon goût mais les malheureux événements de la veille nous avaient fait perdre beaucoup de temps.
Castaguir nous a gratifiés de superbes décors pour chacune des rencontres : cartes de la marque Paizo, bâtiments et éléments en résine peints, etc. Cette attention portée au détail a permis une immersion immédiate ainsi qu'une motivation tactique multipliée.
Mais je l'avais déjà dit sur ce blog et Castaguir partage mon point de vue, la version 4 de D&D appelle à une hybridation jeux de rôles- figurines (et donc décors). Certes, l'investissement a peu de rapport avec celui qu'il pourrait être en jouant uniquement sur un tableau effaçable mais il est possible car nous ne nous retrouvons que quelques fois dans l'année. Il est certain que si nous avions à jouer toutes les semaines, cela deviendrait vite infaisable.
En tout cas, je vais reprendre son idée de plateau que j'ai trouvé astucieuse et très esthétique.
Un fond de meuble en isorel (côté structuré) bombé en vert sur lequel il a tracé le quadrillage à l'aide d'un feutre épais. Fin et donc pratique à ranger, il a également pour atout d'être entièrement modulable (ce que n'est pas mon seul plateau d'extérieur pour D&D minis)
Par ailleurs, j'ai eu l'amère surprise de constater en rentrant chez moi que le colis en provenance de Troll and Toads, que j'attendais fiévreusement avant la partie (quelques modèles devaient être utilisés) était arrivé.... TROP TARD d'un jour !!!
La partie (ma partie) du vendredi a malheureusement été écourtée par un problème domestique interne. (une sorte de JDR en"Grandeur nature" où un jet pour toucher, modifié par plusieurs ajustement a dépassé ma "classe d'armure" ou mes "réflexes"). L'incident nous a toutefois permis de nous coucher relativement tôt. Nous avons donc repris la partie le lendemain matin vers 10 heures.
Les personnages, après avoir combattu un Balhannot dans la demeure du bougmestre de la ville, se sont enfoncés de nouveau dans les profondeurs souterraines de cette dernière.
Uniquement en terme d'actions, ils ont eu à faire face à des Xorns et des Galeb-dur. S'enfonçant encore plus profondément, ils sont parvenus à une gigantesque salle à l'architecture naine qu'un tyrannoeil s'était approprié pour en constituer une partie de son repaire.
Parce que les personnages ne disposaient pas de quoi leur permettre de voler ou de léviter, parce qu'ils ne disposaient presque pas d'attaques à distance, ce combat s'est révélé éprouvant et très tactique. On a eu droit a des coups d'éclats et autres actions héroïques (des "20" naturels sur des jets d'athlétisme ou d'attaques, etc.) où les héros prenaient de l'élan et se jetaient littéralement dans le vide afin de pouvoir toucher le monstre. Après une lutte acharné, ils en sont venus à bout.
Il était temps pour moi de passer volontiers la main à l'autre maître, tout en étant très insatisfait de ma prestation générale.
Dans l'autre partie je jouais un prêtre de Moradin dans le monde des Royaumes Oubliés.
J'étais accompagné d'un demi-elfe barde, d'un drow voleur et de deux guerriers drakéïdes.
Partis de la porte de Baldur, nous sommes rendus à Scornubal en longeant la rivière Chionthar, en passant par Elturel. Nous avions pour mission de retrouver le fils d'un des juges suprêmes de la ville qui avait disparu un mois auparavant. Une fois un passeur trouvé et payé, nous sommes enfoncés dans la grande forêt depuis peu interdite qui jouxte la ville.
Le gué passé, nous avons été attaqués par trois Ankhegs.
Les deux guerriers drakéïdes ont fait parler leur terrible puissance de frappe alors que Nalfein, le voleur drow usait de ses tours pour prolonger un avantage de combat lui permettant d'optimiser ses frappes.
Une fois débarrassés de ces prédateurs géants, nous sommes arrivés dans une clairière où s'était établi un forgeron et sa petite famille.
Nous avons alors été surpris par l'attaque d'un groupe de gobelins qui avait dû nous suivre discrètement dans la forêt. En grande infériorité numérique, il nous a fallu agir de manière juguler le harcèlement des tirailleurs et des doubles lames qui préparaient l'attaque de flanc des troupes d'"élite" : lames noires en autres.
Cette partie a été un vraie régal : un peu trop courte à mon goût mais les malheureux événements de la veille nous avaient fait perdre beaucoup de temps.
Castaguir nous a gratifiés de superbes décors pour chacune des rencontres : cartes de la marque Paizo, bâtiments et éléments en résine peints, etc. Cette attention portée au détail a permis une immersion immédiate ainsi qu'une motivation tactique multipliée.
Mais je l'avais déjà dit sur ce blog et Castaguir partage mon point de vue, la version 4 de D&D appelle à une hybridation jeux de rôles- figurines (et donc décors). Certes, l'investissement a peu de rapport avec celui qu'il pourrait être en jouant uniquement sur un tableau effaçable mais il est possible car nous ne nous retrouvons que quelques fois dans l'année. Il est certain que si nous avions à jouer toutes les semaines, cela deviendrait vite infaisable.
En tout cas, je vais reprendre son idée de plateau que j'ai trouvé astucieuse et très esthétique.
Un fond de meuble en isorel (côté structuré) bombé en vert sur lequel il a tracé le quadrillage à l'aide d'un feutre épais. Fin et donc pratique à ranger, il a également pour atout d'être entièrement modulable (ce que n'est pas mon seul plateau d'extérieur pour D&D minis)
Par ailleurs, j'ai eu l'amère surprise de constater en rentrant chez moi que le colis en provenance de Troll and Toads, que j'attendais fiévreusement avant la partie (quelques modèles devaient être utilisés) était arrivé.... TROP TARD d'un jour !!!
1 commentaire:
J'utilise aussi les plateaux de Paizo pour mes parties de jeux de rôle. En revanche j'évite de mélanger 2D et 3D (enfin à part les figurines ;-))
En tout cas un post très sympa
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