Avant toute chose, devait avoir lieu un jet de dés décisif pour la campagne à suivre : celui qui allait déterminer qui de nous allait jouer l'un des deux camps : vikings ou saxons.
Le sort a décidé que je jouerai les saxons.... les défenseurs donc.
Ayant 25% de points de troupes de moins que mon adversaire et devant tenir 15 tours, j'ai immédiatement pris le parti de ne pas affronter les vikings sur la côte car ils auraient tôt fait de me submerger. Je me suis donc replié dans les cours et les bâtiments du village.
Les vikings ont décidé d'attaquer vers la partie nord du village, en nombre, sans se séparer.
Les saxons les ont attendus en s'appuyant sur la position la plus défensive possible : une sorte de goulot formé par les murs des deux premiers bâtiments. Les paysans et quelques ceorls avaient pour objectif de tenir les fenêtres.
Pour faire court, une fois les vikings arrivés, il s'en suivit une énorme mêlée où les cadavres eurent vite fait de s'entasser les uns sur les autres. Les Saxons semblaient tenir la victoire vers le 12ème tour (sur 15...). En effet, ils avaient infligé 115 points de pertes à leur adversaire. Mais les deux derniers tours furent décisifs car les vikings mirent à bas le cavalier saxon Wulfric (44 points), tuèrent le dernier archer saxon avant de défaire un petit groupe composé d'un ceorl et de deux paysans venus attaquer leurs archers. Une victoire sur le fil.
Lors de la campagne, les vikings pourront donc commencer le premier tour (/jour) à partir de ce village et ne pas avoir à effectuer un autre débarquement.
Bref, une partie haute en faits d'armes de part et d'autres, qui laisse présager une campagne impitoyable.
On avait aussi oublier à quel point la grande hache était -sans mauvais jeu de mot- à double tranchant : si elle confère le double d'attaque à celui qui l'utilise, elle désavantage lourdement ce dernier lors de sa phase de défense... à méditer.
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